Après bien des péripéties, Éric Baray est de nouveau dans la course. La seule femme inscrite dans l'épreuve a été contrainte à l'abandon samedi.
Éric Baray est bien reparti. Le skipper martiniquais, qui avait dû accoster à Porto, vendredi, pour réparer son pilote automatique et changer sa grand-voile déchirée, est bien reparti samedi matin. Le week-end a cependant été éprouvant, le pilote automatique continuant à lui jouer des tours.
Le skipper a dû, de nouveau, intervenir sur ce dernier. Dimanche soir, tout était rentré dans l'ordre.
Un moral d'acier
Aucun problème ne pourra entamer la motivation du martiniquais, et c'est avec un moral d'acier qu'il fait route vers les Canaries. L'ensemble des concurrents longe maintenant les côtes marocaines.
Depuis samedi, ils ne sont plus que 11 à se disputer la victoire, la seule femme de l'épreuve, la norvégienne Kristin Songe-Moller, ayant été contrainte à l'abandon: la jeune femme a dématé.
Quant à Éric Baray, il entame une course poursuite afin de remonter dans le classement, après avoir surmonté toutes les tracasseries de ces dernières 72 heures.