En raison de différentes plaintes déposées en février dernier suite à la reprise d’activité du Moon à Grand-Case, Philippe Laroutis a comparu le 13 septembre devant le tribunal de St-Martin.
Plusieurs faits lui étaient reprochés : ouverture illégale de son établissement, incapacité à fournir l’étude d’impact sonore obligatoire et tapage nocturne. Des infractions « floues » et imprécises justifiant la nullité de la procédure, selon maître François Paris, son avocat. Sa demande a toutefois été rejetée par le substitut du procureur de Basse-Terre ; l’instruction a donc continué.
Hier le tribunal de St-Martin a rendu après délibéré le jugement suivant : «l’exception de nullité a été rejetée, le tribunal relaxe Philippe Laroutis de l’ensemble des faits reprochés et précise qu’aucun élément ne les établissait.» Cependant des plaintes pour tapage nocturne continuent à être déposées à la gendarmerie à l’encontre du gérant de l’établissement.