Dans un courrier daté du 7 avril, quatre associations de protection des droits de l’homme, la Cimade, la DAAC, la Ligue des droits de l’homme de Cayenne et RESF 973 demandent des comptes au préfet suite à un article publié le 23 mars dernier dans La Semaine Guyanaise.En cause : des propos racistes tenu à l’encontre d’un jeune guyanais originaire du Guyana. L’auteur de ces injures, Line Monlouis-Deva, chef de service à la préfecture, n’est autre que la déléguée aux droits de la femme et à l’égalité… Elle et son mari, Michel Monlouis-Deva, vice-président à la région, ont par ailleurs été assignés devant le tribunal des Prud’hommes par deux ex-employés qui les accusent de « travail dissimulé».