Ce matin, le LKP s’est rendu une fois plus devant les grilles de la sous préfecture de Pointe-à-Pitre.Et de nouveau « l’autorité préfectorale n’a pas souhaité les rencontrer ». Un nouveau refus qui n’impressionne pas le collectif qui compte bien rester mobilisé et obtenir gain de cause.
Depuis hier, le collectif s’est lancé dans un nouveau bras de fer avec l’Etat. Son objectif : alerter les autorités et l’opinion publique sur le non respect du protocole d’accord du 4 mars. Le LKP réclame entre autre une réunion de la commission de suivi, la transparence sur la fixation du prix de l’essence, ainsi qu’un plan d’urgence pour la formation des jeunes.
Mardi dans les rues, le Liyannaj Kont Pwofitasyon a entraîné entre et 4 300 et 20 000 manifestants selon les sources. Aujourd’hui, ils étaient bien moins nombreux à s’être rassembler devant la sous-préfecture.