Si les partisans de l’ancien président Jean-Betrand Aristide en exil depuis 2004 en Afrique du Sud se mobilisent pour son retour annoncé au pays pour les prochaines heures, le département d’Etat américains semble estimer que l’ancien président est trop pressé. Les Etats-Unis demandent donc à l’exilé de « différer son retour » pour ne pas déstabiliser le processus électoral. Par ailleurs, le point de vue des deux candidats à la présidence se divergent sur le retour du leader de Lavalas au pays.
GILLES