Un accord semblait être trouvé… et puis en fait, pas vraiment.
A ce jour, aucun protocole d’accord n’est signé entre les protagonistes du conflit qui bloque les agences France Télécom, depuis presque 18 jours.
Jeudi 27 mars, sera le 18ème jour de grève des salariés de France Télécom.
A l’origine du conflit, le fait que les employés contractuels perçoivent un salaire inférieur à celui de leurs collègues titulaires.
L’intersyndicale réclame donc une réévaluation dite équitable des salaires, soit une augmentation de 300 euros par agent non-permanent.
L’intersyndicale réclame donc une réévaluation dite équitable des salaires, soit une augmentation de 300 euros par agent non-permanent.
Encore la semaine dernière, le conflit semblait s’enliser puisque la direction proposait un supplément de salaire maximum de 168 euros, considéré comme insuffisant par les grévistes.
Mais lundi, les négociations prenaient une nouvelle tournure : les parties se seraient entendues sur un montant de 200 euros dans un premier temps et sur un échelonnement de l’augmentation voulue.
Pourtant… toujours pas de signature de protocole d’accord… pas de fin de conflit : la direction souhaiterait en rester là, tandis que les syndicats attendent cette signature pour entériner les accords trouvés.
Donneront-ils suite aux appels des abonnés impatients de bénéficier à nouveau des services qu’ils paient.
N.F.