Pour avoir tué leur père, ils encouraient la peine maximale. Après trois longs jours de procès aux Assises de Basse-Terre, le verdict est tombé Olivier et Sébastien Bitur n’iront pas en prison.
Un bond de 18 ans en arrière est nécessaire pour comprendre comment ces jeunes gens sont parvenus à émouvoir la cours. Tout commence en 1989 avec la disparition de leur mère. Gaétan Bitur, un homme maladivement jaloux, poignarde sa femme et enlève ainsi à deux jeunes enfants la personne la plus importante au monde ; leur maman.
Un traumatisme dont Olivier et Sébastien ne se remettront pas.
La nuit des faits, les jeunes gens n’ont pourtant pas agi avec préméditation. Une phrase de trop de la bouche de leur père, vécu par Olivier comme une insulte à la mémoire de leur mère, et c’est le début de la descente aux enfers… Une douleur déchirante, longtemps contenue qui qui allait ressurgir dans sa forme la plus primitive : la colère.
L’arrêt de la cours a été rendu : 5 ans de réclusion criminelle dont quatre années de sursis. Olivier et Sébastien Bitur ayant déjà effectué un an de prison préventive, c’est en hommes « libres » qu’ils sont sortis du tribunal.
L’arrêt de la cours a été rendu : 5 ans de réclusion criminelle dont quatre années de sursis. Olivier et Sébastien Bitur ayant déjà effectué un an de prison préventive, c’est en hommes « libres » qu’ils sont sortis du tribunal.
La nuit des faits, les jeunes gens n’ont pourtant pas agi avec préméditation. Une phrase de trop de la bouche de leur père, vécu par Olivier comme une insulte à la mémoire de leur mère, et c’est le début de la descente aux enfers… Une douleur déchirante, longtemps contenue qui qui allait ressurgir dans sa forme la plus primitive : la colère.
L’arrêt de la cours a été rendu : 5 ans de réclusion criminelle dont quatre années de sursis. Olivier et Sébastien Bitur ayant déjà effectué un an de prison préventive, c’est en hommes « libres » qu’ils sont sortis du tribunal.
L’arrêt de la cours a été rendu : 5 ans de réclusion criminelle dont quatre années de sursis. Olivier et Sébastien Bitur ayant déjà effectué un an de prison préventive, c’est en hommes « libres » qu’ils sont sortis du tribunal.
