Depuis fin décembre, les services de l’Agence régionale de Santé enregistrent un pic du nombre de cas, qui passe légèrement au-dessus du seuil normal.Entre 1000 et 1200 par semaine ont été diagnostiqués ces quinze derniers jours. Rien d’anormal cependant, cette hausse est classique pour une maladie saisonnière qui refait son apparition chaque année. Les chiffres étaient similaires l’an dernier et l’épidémie a été limitée. Si elle n’est pas une maladie grave, la gastro-entérite reste particulièrement contagieuse. Quelques mesures d’hygiène élémentaires permettent de limiter les contaminations. Se laver les mains régulièrement par exemple. A la maison, il est indispensable de nettoyer les zones susceptibles de porter les germes comme les WC ou le lavabo.