Depuis hier, le service de gériatrie de l’hôpital Pierre Zobda Quitman tourne au ralenti. Le personnel n’assure plus aux patients que les soins minimum.Dans le collimateur : le sous-effectif chronique du service. Les agents réclament le recrutement d’au moins deux infirmiers, le jour et une aide-soignante supplémentaire, la nuit. L’étage de gériatrie du CHU accueille de nombreux malades atteints d’Alzheimer, ce qui exige une surveillance accrue. Plusieurs heures de discussion avec la direction, hier après-midi, n’ont pas permis de trouver un accord. La mobilisation a été reconduite ce matin. Une nouvelle rencontre est prévue jeudi.