Damien Guillou était toujours en tête de la Transat, hier au soir. Le skipper martiniquais, Éric Baray, est 11e à 500 milles du leader.
Malgré le retard accumulé suite à une série d'avaries (grand-voile et pilote automatique) qui l'a forcé à faire escale au Portugal pour réparer, le moral du Martiniquais est au beau fixe. Éric Baray a enfin pu dormir un peu, manger et assécher le carré du bateau.
Les prévision météorologiques sont bonnes et les concurrents vont bientôt trouver une aide précieuse avec les alizés.
Relégué à la 11e place, à 500 milles du leader, Éric Baray est bien décidé à remonter dans le classement.
Hommage
Le skipper martiniquais a tenu à rendre hommage à la concurrente norvégienne, Kristin Songe-Moller, qui a dû abandonner suite à un dématage. Elle n'a pu réparer, n'ayant pas de sponsor : la crise est partout. Il est de plus en plus difficile de trouver des financements pour ce genre d'épreuves.
Éric Baray a également remercié ses fans à travers les réseaux sociaux.